sorry, you ate my cat. Maes



 
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Sujet sorry, you ate my cat. Maes
Dim 12 Nov - 23:47



Mason Stendridge
ft. francisco lachowski


FICHE D'IDENTITÉ
NOM : Stendridge, nom hérité de son père adoptif, ce héros mort bien trop tôt. Fût un temps où il le portait fièrement ce nom, Maes. Mais plus aujourd'hui, il n'en est plus réellement digne en quelque sorte.
PRÉNOM(S) : ses parents l'ont prénommé Mason, en l'honneur du pompier qui l'a trouvé sur le pas de la porte de la caserne et ramené à l'hopital où sa mère travaillait. Mais personne ne l'appelle jamais comme ça, préférant le diminutif de Maes.
ÂGE : il est âgé de 26 années déjà. Le temps file et ne revient jamais. La vingtaine bien entamée, il voit de plus en pus distinctement la prochaine dizaine arriver. Seulement, la raison ne semble pas suivre, elle.
LIEU/DATE DE NAISSANCE : il est né le 29 septembre 1991. Longtemps il n'en a pas su plus. Mais il s'avère qu'il a vu le jour à l'arrière d'une voiture miteuse, alors que sa mère biologique se vidait de son sang.
ORIGINE ET NATIONALITÉ : pur produit australien, Maes n'a aucune autre origine. Il est né dans ce pays bien trop chaud et y mourra très certainement.
ORIENTATION SEXUELLE : Maes n'a jamais été attiré que par les rondeur et la douceur féminines. Il est donc un hétérosexuel convaincu.
SITUATION CIVILE : célibâtard, Maes butine mais ne se pose jamais, n'aimant pas se restreindre dans les plaisirs offerts par la vie. Y'avait bien eu Reese, mais ça c'était une autre histoire, morte et enterrée à présent.  
STATUT MONÉTAIRE : ni spécialement pauvre, ni spécialement riche, Maes fait partie de ces gens issus de la classe moyenne. D'une banalité affligeante.
LES ÉTUDES
NIVEAU D'ÉTUDE : graduate, Maes a deux ans de retard par rapport à son âge réel car il a pris deux années sabbatiques pour faire le tour du monde en sac à dos avant de commencer l'université.  
ANNÉE D'ÉTUDE : il vient d'entamer sa deuxième et dernière année de master en informatique.
MATIÈRE DES ÉTUDES: Maes suit des cours d'informatique. Ce choix a été principalement motivé par les perspectives d'emploi qui s'ouvrent aux informaticiens diplômés. Toutes les boîtes ont besoin d'un bon informaticien. C'est un métier d'avenir.
MAJEURE : informatique.
MINEURE(S): il ne suit plus de mineure depuis qu'il est en master.
BOURSIER : non, si lui et sa mère en auraient bien besoin pourtant, il n'entre pas dans les conditions requises pour avoir le droit à une bourse. Alors, il bosse tous les étés et tous les week-ends dans un magasin de vente d'ordinateurs pour pouvoir se payer ses cours.
QUELQUES QUESTIONS
SÉRIEUX

FUMER

ALCOOL

SPORT

LECTURE

NATURE

FILMS

MUSIQUE

TÉLÉ

SEX

SOCIABILITÉ

ORDI

Quelques questions afin de mieux cerner ton personnage au sein de l'université.


Pourquoi UQ : parce que c'était l'université la plus proche de chez lui. Après s'être cassé pendant deux ans faire le tour du monde en sac à dos à ses 18 ans, il n'avait plus envie de trop s'éloigner de sa mère et de ses soeurs qui avaient bien besoin de lui.
Quel est ton campus : il logeait au début de ses études à St-Lucia, car c'était le campus qui lui correspondait le mieux à l'époque. Aimant s'amuser et faire la fête, c'était tout naturellement que Maes et ce campus s'étaient trouvés. Depuis deux ans et demi, néanmoins, il a bougé vers Gatton. S'il aime toujours autant faire la fête et s'amuser, il ressent un besoin de calme et de tranquillité depuis l'accident. Gatton lui rappelle son voyage et lui permet de se recentrer. Il n'en déloge pas moins très souvent pour pouvoir s'adonner à ses conneries préférées et dort du coup chez des potes restés sur son ancien campus quand il est trop tard pour rentrer chez lui.
Qu'attends-tu du campus : du calme et de la tranquillité. Si Maes aime faire la fête et déconner entre amis, il aime aussi avoir quelques moments pour lui de temps à autres.
Quelle a été ta réaction face à ton admission à UQ un sourire de contentement et la perspective heureuse de faire une sale blague à sa mère avant de lui annoncer la bonne nouvelle.

prénom / pseudo : .YESTERDAY, anaïs. Non ça a pas encore changé. sorry, you ate my cat. Maes 22771853 âge: trop vieille pour toi.  :houu:  fuseau horaire : celui de la terre du milieu, bitches.  :cro:  où avez-vous trouvé le forum: dans le sac sans fond d'Hermione Granger.  :ih:  votre avis : j'dois vraiment encore me répéter ? Ilénase, c'est pour ça que je me dédouble dessus.  :fuck:  personnage : inventé de ma petite tête. fréquence de connexion : j'ai envie de dire 4/7 parce que c'est ce qu'une personne sensée qui travaille doit faire, mais - let's be real - je suis pas sensée.  sorry, you ate my cat. Maes 3475416427  une ultime bafouille : merci à ma famille et mes amis pour avoir fait de moi celle que je suis aujourd'hui.  :ih: C'est à dire un gros boulet de galérienne.  :ahahaha:  




Dernière édition par Maes Stendridge le Ven 17 Nov - 16:03, édité 5 fois
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Dim 12 Nov - 23:47

way too good at goodbyes

chapter one, not there ; « Tout le monde est parti maman. Les filles sont au lit. Tu as besoin de quelque chose ? » Les yeux bien trop rouges, bien trop gonflés, de sa mère viennent croiser son regard. En cet instant précis, elle lui semble à mille lieux, proche physiquement, mais tout aussi inaccessible que son père à la fois. « Heu… Non non. Monte aussi s’il-te-plaît. » Elle a à peine murmuré ces quelques mots, déjà elle retourne dans sa rêverie, perdue dans un océan de désespoir. La peine, visible sur chaque trait tiré de sa mère, fait douloureusement écho à la douleur de l’adolescent. Il sent le sang recommencer à battre au niveau de son crâne. La voir ainsi est presque pire pour lui que la perte en elle-même. Alors, il bat en retraite, ne demande pas son reste et la laisse tranquille. Arrivé à sa chambre, il enlève rageusement cette cravate qui semble l’étouffer depuis de bien trop longues heures déjà et la jette sans ménagement aucun dans un coin de la pièce… S’affalant sur le lit, il jette un regard circulaire autour lui. La chambre est remplie, voire encombrée, de ces milliers de choses que les adolescents normaux aiment posséder. Figurines, comics, jeux vidéo. Partout où se porte le regard, il trouve un gadget, nombre de choses qui lui avaient semblées si importantes avant - précieuses même. En cet instant, pourtant, il est pris d’une furieuse envie de tout casser, tout balancer. Cette pièce bien trop remplie de possessions inutiles lui file la nausée. Il échangerait bien tout ça contre ne serait-ce qu’une heure de plus en compagnie de son père. A nouveau, il sent la rage monter en lui, implacable, tenace. C’n’est pas juste, non. Pourquoi lui ? Pourquoi eux ? Il aimerait remonter le temps Maes. Ne pas demander à son père d’aller chercher ces fichues glaces si tard le soir. Il est en colère le brun, contre tous ces gens venus bien trop nombreux avec leurs visages affectés leur présenter de sincères condoléances. Comme si ça changeait quelque chose, comme si ils pouvaient s’imaginer ce que ça fait de perdre un mari, un père, un héros. En colère contre ce fichu chauffard qui s’est pas arrêté au passage pour piéton.  En colère contre son père aussi de les avoir abandonnés. Mais surtout en colère contre lui-même pour avoir avoir forcé ce dernier à sortir le soir. Maes, il a soudainement envie de se laisser engloutir par cette rage, ne plus lutter et la laisser prendre le pas sur lui. Ça lui permet de n’pas ressentir la peine qui guette et ça c’est pas plus mal… « Maes, j’arrive pas à dormir, j’peux venir ? » Elle a huit ans et le rappelle à l’ordre sans s’en rendre compte. Sa toute petite sœur, Lucy. Non, il n’peut pas s’oublier dans la fureur. Il n’peut pas faire de la colère son moteur principal. Y’a deux sœurs et une mère qui comptent sur lui à présent. Il est le seul homme de la famille et, pour elles, il compte bien tenir ce rôle comme il se doit. Tout comme son père l’aurait fait. Alors, il tente d’afficher un sourire rassurant et invite sa Lucy à grimper près de lui, lui promettant tacitement d’être là. Toujours.


chapter two, scenery change ; Il est à bout de souffle. Il doit pourtant continuer. Plus que quelques mètres et c’est le sommet. Il se retourne, une fraction de seconde, histoire de contempler le chemin parcouru. Mais la corde le liant aux autres le rappelle bien vite à l’ordre. Non Maes, ne regarde pas en arrière. Ne plus jamais regarder en arrière et laisser le passé là où il est. Alors, il continue. L’ascension n’est pas facile, mais le jeu en vaut définitivement la chandelle. Ca fait presque deux ans à présent qu’il vagabonde à travers le monde. Voyage entrepris alors qu’il n’était encore qu’un enfant de 18 ans, meurtri. Perdre deux fois un père, ça laisse des traces. Du coup, il a pris son sac à dos et, après avoir serré fort sa famille uniquement féminine dans ses bras, il est parti à l’aventure, mais surtout à la recherche de lui-même… Depuis quelques jours, au moment de commencer la grimpette du mont Erebus en réalité, il sent que le périple touche à sa fin. Y’a cette sorte de certitude tranquille qui l’habite, teintée de mélancolie. Sentiment indéfinissable qui lui souffle qu’il touche au but. Il va trouver ce qu’il cherche, tout bientôt. Il le ressent, en est certain. Un pied devant l’autre. Plus que quelques mètres. L’air, bien trop rare, lui brûle les poumons. Le souffle lui manque de plus en plus, mais paradoxalement, il se sent serein. La personne derrière lui lui crie quelque chose, certainement une blague. Il sourit, plus poliment qu’autre chose. Il n’a en réalité rien saisi, bien trop absorbé dans son propre monde à lui. Univers de solitude tranquille. Il ne voit plus que son but et rien d’autre n’a d’importance… Finalement, après des jours et des jours de montée interminable, de sols escarpés, de gouffres dangereux, d’engelures et de trop courtes nuits, il y est. Enfin. Tout à coup, malgré l’air moins oxygéné, il sent un souffle nouveau prendre vie en lui. A perte de vue devant lui, derrière, partout, s’étendent les nuages, la neige et l’immensité du monde à ses pieds. Un tour sur lui-même lui donne le tournis tellement il se sent tout petit face à cette force tranquille. Le volcan, pourtant en éruption, lui semble si calme en cet instant précis. Objet de la nature destructeur, orageux et pourtant si paisible à la fois. C’en est presque beau, poétique. Et, comme d’un commun accord avec la montagne, Maes sent toute colère le quitter momentanément, le laissant vide et épuisé mais étonnamment bien à la fois. Il a compris à présent, ou pense avoir compris quelque chose. C’est un peu confus. Cependant, une chose est certaine : il peut redescendre. Rentrer chez lui. Enfin.


chapter three, stuborn love ; Il la regarde dormir, tout contre lui. Elle a l’air si paisible quand elle dort. Ça lui a toujours coupé le souffle à Maes de percevoir cet abandon total en Reese pendant son sommeil. Plus jeune, il s’est souvent demandé s’il en allait toujours ainsi ou si elle se sentait particulièrement en sécurité avec lui et dormait donc à poings fermés dans ses bras uniquement. Un part de lui, bien trop fière, aimerait qu’il s’agisse de la deuxième option. Après tout, n’est-il pas celui vers qui elle s’est toujours tournée ?  Ils ont grandis ensemble. Lui n’a jamais vraiment eu le choix dans l’histoire pensant tout d’abord, comme tout jeune garçon idiot, à l’énervement qu’elle lui causait cette gamine bien trop collante et bien trop grande gueule pour son propre bien. Puis, il a compris : elle a été une évidence. Sa meilleure amie, sa confidente, sa protégée. Celle qui est restée, durant chaque épreuve. Celle qui a cherché du réconfort auprès de lui quand ça n’allait pas chez elle. Mais également celle qui lui passe aujourd’hui toutes ses conneries et vient le rechercher à ses bien trop nombreuses fêtes, peu importe l’endroit, peu importe l’heure. Toujours là l’un pour l’autre, telle est leur devise. Jamais brisée, même quand il est parti aux quatre vents chercher on n’sait bien quoi ailleurs dans le monde. Non… Elle fronce les sourcils dans son rêve. Et il sourit, attendri. Ils ont dormis des milliers de fois ensemble, sans qu’il ne s’passe jamais rien. Un millier de fois il a délaissé les bras de jolies demoiselles pour aller la retrouver. Mais aujourd’hui, c’est différent. Il a compris qu’elle est encore bien plus pour lui qu’il n’a pu l’imaginer jusqu’à présent. Il n’peut pas la perdre et ne supporte plus de la décevoir avec ses conneries. Il a compris que, même si elle se tait, reste digne, ça lui fait mal de le voir enchainer les conquêtes, ne jamais se poser. Il a ouvert les yeux également sur le fait que ce qu’il cherche désespérément dans d’autres bras se trouve là, juste en face de lui. Il n’a besoin de personne d’autre au fond, juste d’elle. Une touche de Reese pour égayer sa vie. Pour elle, il est prêt à se calmer, changer de vie, s’ranger. Il le sent. C’est elle ou personne. Ça a toujours été elle. Il n’en doute plus, mais a peur en même temps. Son instinct de préservation masculine le taraude : et si elle le repousse ? Que faire ? Il ne le supporterait pas. Pas plus qu’il ne supporterait de la voir avec quelqu’un d’autre, s’il doit être honnête… Entre les deux solutions, la dernière lui semble bien pire, destructrice. Alors c’est décidé : aujourd’hui il lui avoue. Il va l’emmener quelque part de bien et la surprendre. Ou essayer du moins, puisque les surprises n’ont jamais été son fort. Elle a toujours semblé lire en lui comme dans un livre ouvert… En espérant qu’il n’se dégonfle pas avant de le lui avoir dit. Il en est capable, sombre idiot.


chapter four, stay with me ; Il n’sait pas où il s’trouve. Sa tête est lourde et lui fait mal, comme quand il a la gueule de bois - il connait bien. Mais sauf que là c’est vingt fois pire. Il soulève ses paupières, difficilement - travail titanesque lui demandant de rassembler ses dernières forces. Et là, la lumière crue, éblouissante. Il n’distincte rien, si ce n’est cette voie suraiguë. Mais qui crie donc comme ça ? Inutile de faire subir ça à ses tympans déjà bien douloureux.  « Maes, Maes ? Tu te sens bien mon chéri ? Tu as eu un accident… Mais tu as de la chance, quelques égratignures seulement… » Sa mère ne crie pas en réalité, bien du contraire, elle lui parle d’une voix douce, étrangement posée pour une femme qui vient de manquer de perdre un autre membre de sa famille en raison d’une voiture… L’accident. Il n’s’en souvient pas vraiment, mais maintenant que la brume commence à s’évaporer d’son esprit, quelques bribes de souvenirs de sa nuit lui reviennent. Il s’revoit à une fête lambda, profitant bien trop de sa soirée avec une magnifique brune qui de toute évidence n’est pas Reese… Reese. Ses pensées dérapent. Un sentiment atroce s’empare de lui, sans qu’il n’en sache réellement la cause ou n’comprenne pourquoi. Le doute s’insinue en lui. Elle est où Reese ? Il s’redresse un peu plus et aperçoit ses sœurs, en arrière-plan, se découpant derrière la silhouette de sa mère… Mais aucune trace de la blonde. Elle devrait être là, non ? D’autres flashs apparaissent devant ses yeux. De Reese cette fois, toujours à la soirée. Elle l’observe blessée, dépitée, mais surtout déçue. Il n’saurait dire si l’image est réelle ou pur fruit de son imagination. Puis il se voit dans la voiture, affalé. Quelqu’un lui crie dessus, mais il n’est pas vraiment en état de répondre. Il sait qu’elle a raison de toute façon. Elle a toujours raison : il n’est qu’un beau connard. Une ordure. Il aimerait lui dire de le laisser tomber ; que d’toute façon elle trouvera facilement mieux que lui. Mais il n’en a pas le courage. Il n’lui rendra pas sa liberté, elle lui est trop précieuse pour ça. Sale égoïste. Puis… Des lumières aveuglantes et un bruit strident, au loin, comme dans du coton. Et maintenant sa mère qui l’observe. Son corps lui fait mal, mais il n’en a cure alors que son esprit s’affole de plus en plus. Elle est où Reese, bordel ? « Maman… Reese… Où ? » La bile lui emplit la bouche ; il a du mal à articuler, pourtant on entend distinctement la panique suinter dans ces quelques paroles. Petit à petit, le puzzle se met en place dans son esprit. Mais il n’veut pas y croire. Il n’peut pas y croire. Pas ça. Certainement, il n’a pas causé… Il veut fuir la réalité, retourner dans son coton et s’endormir. C’n’est qu’un mauvais rêve. Juste un cauchemar. Seulement, le regard de sa mère, désolé, finit de l’achever. Il essaie de secouer la tête. Il n’entend pas forcément les paroles qu’elle lui dit. Quelques bribes à peine parviennent à percer à travers le nuage dans sa tête. Etat critique…. Complications… Pronostic vital… Et tout ça par sa faute…


chapter five, fallen glory ; Ses doigts s’attardent sur le verre où le liquide ambré tournoie, comme hésitants un court instant. Il le saisit enfin et le porte à ses lèvres. Le breuvage lui brûle la gorge et emplit son corps d’une douce chaleur. Il rigole à la blague d’un d’ses potes et sourit à la vie. Il est jeune, beau et profite à 200 % Maes. Ou du moins, c’est l’impression qu’il veut bien s’donner le con. De l’extérieur, il a l’air du parfait salopard sans foi ni loi. Ce mec avec qui on aime rire et s’amuser, ce type qui enchaîne les conquêtes mais ne fait jamais de promesses. Il est gentil, il est décontracté. Mais, à l’intérieur c’est autre chose. Etendue désertique dans son esprit et dans son cœur. Il masque son désarroi dans un sourire ravageur. Il est c’type qui semble toujours tout prendre à la légère en définitive. Le brun n’laisse d’ailleurs personne s’approcher de trop près, préférant les relations superficielles, n’voulant plus rien détruire. Comme il a pu le faire pour ses deux pères ou encore Reese plus récemment. Elle qui n’se souvient plus de leur relation passée. Deux années. Deux ans entièrement effacés d’sa mémoire, perdus dans les méandres meurtris de son cerveau après des jours et des jours de coma. L’angoisse première passée, Maes a décidé que plus jamais il n’lui ferait de mal. Aussi, quand sa famille à elle a « suggéré » d’effacer leur malencontreuse relation de l’histoire officielle, il n’a pas protesté - se contentant d’obtempérer. C’est mieux ainsi, non ? Il en est persuadé… Enfin, ça n’l’est pas forcément pour lui comme Meave aime à le lui répéter, mais il s’en fiche de lui. Il a été égoïste bien trop longtemps. Du coup, il s’est effacé, passant au second plan. Il a repris sa place du meilleur pote auprès de Reese. Toujours là pour elle, oui. Pourtant, à c’niveau là aussi quelque chose s’est brisé… Maes l’évite, tente d’esquiver et ne s’confie plus beaucoup à elle. Il ne la mérite pas. Il s’contente d’être là quand elle l’appelle mais c’est tout. Il aimerait progressivement qu’elle arrive à vivre sa vie sans lui, même si ça le tue à petit feu… Oui, au fond tout est mort en lui. Y’a plus de place pour rien, si c’n’est sa famille. Il continue à donner le change pour elles en définitive… & encore, s’il arrive à tromper sa mère et Lucy, Meave n’est pas dupe. Elle n’l’a jamais été. Quand bien même, il parade et fait comme si tout allait bien. Oh oui, il fait trop la fête. Mais rien de bien malencontreux… C’est d’son âge après tout. Il doit bien profiter de sa dernière année de fac avant de devoir se ranger et trouver un boulot… D’un geste d’la main il commande un autre verre et le termine aussi rapidement que le premier. Cul sec. Il repère ensuite du coin de l’œil une charmante créature qui l’observe. Un sourire enjôleur vient s’coller à ses lèvres. Ce soir encore il n’finira pas seul, comme presque tous les soirs. Il s’oubliera dans des bras accueillants mais n’y restera pas longtemps ; car aucune étreinte n’remplacera la sienne au fond. Et de ça, il en est douloureusement conscient chaque jour un peu plus. Si seulement, il pouvait revenir en arrière et n’plus jouer au con. Mais c’est trop tard pour les regrets. Game over.



Dernière édition par Maes Stendridge le Ven 17 Nov - 16:43, édité 18 fois
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Dim 12 Nov - 23:49
chico sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411
(re)bienvenue avec ce canon :little:
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Dim 12 Nov - 23:52
sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 :**: :**: :**: :**: :hug: :hug: :hug: :hug: :;D: :;D: :;D: sorry, you ate my cat. Maes 396686028 sorry, you ate my cat. Maes 396686028 sorry, you ate my cat. Maes 396686028 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411

Voilà, tout a été dit sorry, you ate my cat. Maes 2128959745 :bave: :bave:
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Lun 13 Nov - 0:38
@Poppie Upton : merci jolie demoiselle. sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 :ih:

@Laurel Browning : sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 3848591411 sorry, you ate my cat. Maes 78361733 sorry, you ate my cat. Maes 78361733 sorry, you ate my cat. Maes 78361733 sorry, you ate my cat. Maes 78361733 sorry, you ate my cat. Maes 78361733 sorry, you ate my cat. Maes 78361733 :baveuh: :baveuh: :baveuh: :baveuh: :baveuh: :baveuh: :baveuh: sorry, you ate my cat. Maes 2128959745 sorry, you ate my cat. Maes 2128959745 sorry, you ate my cat. Maes 2128959745 sorry, you ate my cat. Maes 2128959745 sorry, you ate my cat. Maes 2128959745 sorry, you ate my cat. Maes 2128959745 (J'te fais même la danse du string, t'imagines pas l'honneur :ih:)
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Lun 13 Nov - 12:42
Rooh mais c'est quoi cette perfection numéro deux ? sorry, you ate my cat. Maes 2832630331 sorry, you ate my cat. Maes 2832630331
Rebienvenue ici ma belle :mimi:
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Lun 13 Nov - 12:43
Fransisco sorry, you ate my cat. Maes 2832630331
re bienvenue ici  :hrt:
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Lun 13 Nov - 12:46
@Maes Stendridge J'ai beaucoup de chance :hou:
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Lun 13 Nov - 15:25
salut toi sorry, you ate my cat. Maes 702779341 sorry, you ate my cat. Maes 702779341
je valide ton vava comme tu sais sorry, you ate my cat. Maes 78361733
re bienvenue ici et je me dépêche de répondre au lien :kkeurk:
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Lun 13 Nov - 16:09
Bienvenue de nouveau sur bb :baveuh:
Hâte qu'on prenne du plaisir à jouer ensemble sorry, you ate my cat. Maes 702779341 sorry, you ate my cat. Maes 2832630331 sorry, you ate my cat. Maes 2206981839
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Lun 13 Nov - 18:41
ce choix :coeur: puis ce pseudo aussi :jm:
re-bienvenue parmi nous :hug:
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Lun 13 Nov - 20:09
ici tybalt sorry, you ate my cat. Maes 22771853 t'es beau et on va s'aimer et surtout s'détruire :coeur:
BIENVENUE SUR BANANA BENDER  sorry, you ate my cat. Maes 1295406836  :rlobe:
j'espère que tu te plairas parmi nous  sorry, you ate my cat. Maes 2128959745
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Lun 13 Nov - 21:40
Rebienvenue chez toi mon chaton, joli choix avec le beau Francisco ! :hug:
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Mer 15 Nov - 10:54
@Eldon Browning : J'aime faire dans les comptes sexys / parfait. sorry, you ate my cat. Maes 4164491087 Mais tu fais pareil. :hhe: Merci :keur:

@Chris Liamson : thanks. :cro:

@Gabriela Kostas : haha merci ma belle. sorry, you ate my cat. Maes 78361733

@Hyppolite Wright : merci. :cro: Tout pareil. :ih:

@Bellone Czajka : mercii à toi belle demoiselle. :jm:

@Alban McCallum : oh yeah, on va en faire des conneries ensemble. :ih: J'ai hâte. sorry, you ate my cat. Maes 4164491087 Merci sorry, you ate my cat. Maes 1526934558

@Samuel Headland : merci à toi. :hug: Il nous faudra un lien. sorry, you ate my cat. Maes 3308753534
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Sujet Re: sorry, you ate my cat. Maes
Mer 15 Nov - 12:27
ce prénom. sorry, you ate my cat. Maes 2206981839
rebienvenue par ici et bon courage pour ta fiche, :coeur: je viendrais te demander un lien, c’est pas négociable sorry, you ate my cat. Maes 78361733
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