bring on the night — c'était la goutte de trop, en ce moment coco se perd, notamment à cause de tous les problèmes qu'elle accumule ces derniers temps. elle venait de décrocher la pire note du trimestre en marketing, sa première note en dessous de la moyenne depuis qu'elle est entrée dans cette université, c'était pourtant son domaine, elle aimait le marketing comme personne avant elle ne l'avais aimé, alors quand cette note est apparut sur son pupitre, elle n'a pas cherché de réponse, ni d'explication à son professeur. coco est sortie du cours alors que l'heure n'était pas finie, sous les regards ahuris de ses camarades et du professeur, sans est trop pour coco, elle se laisse aller et cette note n'allait pas venir arranger ses affaires, au contraire. le soir même, coco s'est rendu à une de ses soirées étudiantes, c'était si rare de voir la demoiselle se mêler à la foule, une foule où le temps d'un moment le compte en banque des parents ne lui est guère important. princesse coco, ce soir elle lâche prise, pour son plus grand étonnement elle s'était mise à danser, l'alcool lui monte à la tête, elle ne sait plus vraiment où elle se trouve, seulement deux verres raisonnables d'une boisson alcoolisée et la voilà déjà cuite. coco n'a jamais supporter l'alcool, le peu qu'elle en boit, on l'a perdu, pour une coco qu'on a moins l'habitude de voir. Dans l'euphorie du moment, coco, tape contre le torse, d'un homme plutôt bien bâtit. « excuse-moi, je ne voulais pas.. » elle relève la tête, apercevant en face d'elle un homme, un des nombreux responsables de son état actuel. « tiens, j'pensais justement à toi. » comme elle pense à lui tous les jours, putain ce qu'elle allait regretter d'avoir bu.

bring on the night — verre dans la main. musique qui résonne dans toute la maison. alban il ne savait même pas où il était, ni même ce qu'il faisait là. ça faisait trop. trop de sorties depuis le début de la rentrée. il n'avait pas trop le choix en réalité. et puis finalement, il commençait à apprécier ça. c'était une manière d'oublier. de s'évader. bien qu'il préfère les petits comités, ce n'était pas le cas de ses gars. appuyé contre une table, il regarde la scène qui s'offrait à lui. des hanches qui se mouvaient, des fessiers mise en valeur par des danses trop sensuels. c'était presque répugnant. surtout avec les regards dépravés de certains d'entres eux. l'alcool n'était décidément pas très bon. mais ça ne l'empêcha pas de porter son verre à ses lèvres. la brûlure qui s'infiltra dans sa gorge l'apaisait. c'était presque agréable. ton regard balaie la salle ; il a perdu ses acolytes. comme d'hab. il soupire. une femme l'accoste. ignorance élégante, il dévie de son chemin. il préférait de loin passer la nuit seule, qu'avec une épave. il avance, cherchant une manière de limiter cet ennui naissant. puis ils se bousculent. elle et lui. coco et alban.ça faisait longtemps. ses prunelles la fixent, l'analysent et l'interrogent. un sourire au coin apparaît vis à vis de ses propos pourtant nonchalants. un simple : pourquoi ? s'échappe de sa bouche. une curiosité naissante et un myocarde qui change de cadence. elle était belle coco.

bring on the night—son ivresse pouvait lui jouer des tours, pauvre coco, toujours dans un état pitoyable au bout du deuxième verre, alban face à elle, sa journée semble lui devenir interminable, mais elle ne peut s'empêcher de le trouver attirant, elle ne peut s'empêcher de lui parler et ça malgré le fait, qu'elle s'était jurée de ne plus jamais lui adresser le moindre mot, blessé par l'annonce de ses fiançailles, foutue ivresse, peut-être que certaines choses, qu'elle aurait préféré garder enfermé à triples tours dans son cœur, allait probablement sortir contre son gré. pourquoi ? le son de sa voix, coco, c'est vrai, ça lui a manqué. le fait, que tu aies choisi carmen.. une coco d'ordinaire ne lui aurait jamais avoué une telle chose, sa fierté étant grande. seule coco sait au fond d'elle à quel point ses fiançailles ont été un coup dur pour elle, coco, elle pensait secrètement être celle pour qui il aurait craqué.. carmen, ça a été un deuxième choc pour elle, ils s'appréciaient certes, mais coco n'aurait jamais pensé qu'elle et lui c'était au-delà d'une histoire professionnelle, voir d'amitié. m'enfin, j'veux dire que j'ai tourné la page, hein. ivre, coco arrive toujours à balancer des conneries, bien sûr qu'elle n'a pas tourné la page, pas en si peu de temps, pas quand il se tient devant elle, son petit sourire en coin qu'on ne voyait que trop peu, ce même sourire qui avait le don de la rendre bête. tu me manques. soufflant presque coco, comme gênée de lui avouer.

bring on the night — coco, elle l'avait touché en plein coeur. avec son sourire au bout des lèvres. son innocence dans les prunelles. et sa façon de voir les choses. un rayon de soleil dans sa vie, alban il ne l'avait pas vu venir. mais il ne l'avait pas non plus laisser entrer dans sa vie. non alban il gardait toujours une certaine distance. bien que parfois ses désirs ne lui souhaitait pas. parce qu'alban restait humain. et surtout homme. et que les charmes de cette très belle femme parvenaient parfois à s'immiscer dans ses pensées. sauf qu'il était trop attachée à elle pour pouvoir agir selon ses désirs. un attachement qui s'était effrité depuis quelques jours. et ce soir, elle était là. près de lui. l'alcool engouait son regard. il sourit. oui alban, ça l'amusait de la voir ainsi, si vulnérable. le liquide dans son verre ne l'aidait pas à y voir plus clair. cependant il savait qu'elle disait la vérité. étrangement, comme si la jalousie venait se mêler dans votre conversation, elle le surprit. sans jamais penser à ce que ces fiançailles fassent de telles conséquences sur ses autres relations. alban il ne se pensait pas vraiment proche des femmes. seulement quelques unes. celles de la bande. celles de la famille. mais pas les autres. pas coco. alors il fut surpris de constater que ça, avait eu un incidence sur coco et lui. ça le faisait presque peur. mais le plus farfelu dans tout ça, c'était qu'elle croit qu'il ait choisi carmen au lieu d'elle. alban n'aurait jamais fait un tel choix. alban il aurait préféré être seule. ça n'avait pas été de son ressort. ni celui de carmen. son prénom qui sortait des lèvres de coco de manière empoisonner. coco ne l'aimait pas. coco était jalouse. mais cela ne se pouvait pas qu'il en soit le responsable. alban il allait réagir la rassurer. il voulait lui dire des mots doux comme il avait pu user d'autres fois auparavant. mais elle lui balance qu'elle a tourné la page. outch. mine de rien, ça le fait chier. mine de rien alban, il est touché. se disant invincible aux charmes des demoiselles. là, il aime pas ça. la sensation qu'il a lorsqu'elle a prononcé ces mots. peut-être alban lui n'avait pas tourné la page. mais alban son problème ce n'est pas de savoir ça. y avait-il un chapitre pour qu'elle puisse y tourner une page ? ça le rend dingue. il comprend plus rien. il la regarde, il la fixe, il continue, sans rien laisser paraître. puis elle capitule. elle lui avoue qu'elle lui manque. alban il sait pas quoi faire, partager entre l'envie de l'ignorer ou de la garder auprès de toi. t'es pathétique à mentir coco. alban il pouvait parfois être méchant. pourtant crois moi je t'aurais choisi pour la vie si j'avais eu le choix. il lève les yeux au ciel, presque méprisant. comme si c'était une évidence. comme si elle devait le savoir. en fait il lui en voulait. parce qu'il la rendait tout fou. et arrête de boire, j'ai pas envie que tu finisses à poil avec n'importe qui. il était froid et pas aimable, et pourtant ses propos portaient à confusion. alban c'était ça son problème.

bring on the night— petite mine déçue, coco ce qu'elle pouvait le haïr quand il avait des paroles dur. alban, c'est dans son caractère, il ne montre jamais rien, il est froid voir parfois distant et ça même quand tu penses avoir ouvert une brèche, car elle se referme aussitôt ouverte. alban, il est sérieux, mais en face d'elle, il devenait complètement aveugle.. c'est à se demander s'il n'éprouve aucun désir en la voyant, là, son petit air triste à lui avouer que tout ça lui manquait, lui et elle, leurs discussions, leur parfois légère complicité, oui coco ça lui fait mal de le voir en face d'elle, et ne pas pouvoir lui adresser un sourire, un peu trop remontée contre lui pour lui en adresser un et ça même ivre, ça lui fait mal de ne pas pouvoir lui glisser une papouille. debout devant elle, coco, elle ressent un pincement au cœur, ses paroles, elles, lui transpercent le cœur à coup de pique, c'est presque qu'inconsolable qu'elle l'écoute : toujours aussi maladroit et méchant dans ses propos. coco ce n'est pas un monstre, son cœur est bien là, son cœur est touché. coco, elle s'était habituée à le voir moins sur la défensive, même s'il restait et reste très difficile à cerner, c'est parfois à se demander s'il n'est pas hermétique aux charmes de coco. t'es pathétique à mentir coco. ces mots résonnes encore et toujours, comme s'il chercher à se rassurer, se dire qu'elle ment, comme pour ne pas s'avouer qu'au-delà de leur amitié, coco espérait beaucoup plus, coco éprouvait et éprouve toujours des sentiments à son égard. alban, lui, il préfère ne rien voir. putain, c'que tu peux m'énerver quand t'es comme ça.. c'est pas des conneries, alban. soufflant un brin énervé par l’attitude d'alban. crois-moi, je t'aurais choisi pour la vie si j'avais eu le choix. coco, elle lève les yeux vers lui, stupéfiée qu'il puisse lui avouer une telle chose, coco, elle se sentait pousser des ailes, comme si la colère et la haine qu'elle éprouvait à son égard depuis ses derniers temps, c'étaient évaporer une fois cette déclaration faite. cela voulait d'abord dire qu'il n'a aucunement choisi carmen. tout ça devait encore être une histoire de famille, coco ne doit pas, mais elle ne peut s'empêcher, elle affiche un large sourire, soulager de savoir qu'il ne s'agissait là que de simple fiançailles dicté par leurs familles respectives. ... je veux être celle qui partage ta vie. sous le coup de l'émotion, l'alcool lui montant à la tête, coco, sur le coup, elle ne semble pas avoir réfléchi. et arrête de boire, j'ai pas envie que tu finisses à poil avec n'importe qui. plutôt froid, mais ça restait alban, puis de toute façon coco est en ce moment même sur un nuage, aucun moyen pour qu'elle puisse mal le prendre. huum, t'en serais mort de jalousie, avoue. alban, elle le cherche.

bring on the night — alban, il était maladroit. jamais très éloquent lors des conversations. parfois il blessait. et sûrement ce soir, coco avait été sa victime. il ne le souhaitait. pas avec coco. alban il l'aimait bien. ouais alban il avait du mal à s'attacher mais coco l'avait charmé. elle avait réussi son coup. alors ça l'embêtait alban de savoir que coco était énervée contre lui. mais d'un côté ça le rendait tout pantois de savoir qu'elle l'était à cause de ses fiançailles. elle aussi semblait s'être attachée. alban ou peut-être l'alcool un peu, il avait envie de se lâcher, de se laisser aller. il sourit. trop de fois en une même soirée. en si peu de temps. mais il est là. à rire, amusé de la situation. il n'y avait rien de drôle pourtant mais coco c'était ainsi qu'elle le rendait. il apporte sa main jusqu'à la tête de la jeune femme et lui donne une pichenette sur le front. l'air désespéré, il la regarde toujours amusé. non, t'as pas tourné la page banane. alban il devenait complètement fou. une telle complicité c'était rare. mais il s'en fichait alban, il avait confiance en coco. il la connaissait. il était sans danger, alors il baissait ses barrières. alors il parle. trop peut-être. il dit des mots dont il n'est pas habitué à dire. il pense des choses auxquels il n'aurait imaginé pensé au cours d'une soirée avec une fille. alban il se surprend lui même. et ça le bloque. il est gêné. il rougie. mais heureusement pour lui, la lumière n'est pas assez puissante pour distinguer cette rougeur. mais il se gratte l'arrière de la nuque alban. comme un réflexe. et la voir ainsi après ses propos alban il se sentait encore plus maladroit. surtout avec les mots qu'elle prononce. ça lui donne chaud. trop. puis d'un coup il baisse son regard sur les lèvres de la jeune femme. wow. c'était inattendu. mais il agît pas. il reste immobile. il a besoin de reprendre ses esprits. il dérive même sur un autre sujet. mais sauf que d'un coup il a l'impression que l'atmosphère semble s'alourdir. trop chaud. trop de tensions. puis elle le cherche. elle le taquine. alban le problème c'est qu'il n'est pas patient. non t'as raison. j'préférais tu restes avec moi toute la soirée. en disant ça, alban il a pas remarqué que soudainement leur corps se sont rapprochés. son regard défile de plus en plus jusqu'à ses lèvres. il soupire. il s'éloigne. il lève les yeux au ciel. ou peut-être pas. t'façon j'suis fiancée. ça avait aucun rapport. jusqu'ici il pouvait vivre sa vie. mais alban il se braque. encore et encore.

bring on the night— alban, ce grand mystère, ce qu'il pouvait être gentil comme méprisant, c'est dingue. coco, elle apprécie ses deux faces, l'une plus que l'autre, évidemment, son côté froid et méprisant ça lui donne ce côté intouchable qu'apprécie fortement coco, même s'il peut l'énerver quand il change d'humeur d'un rien, comme ça. puis il y a ce côté doux chez alban, où il nous laisse apprécier son magnifique sourire, coco ça la faisait littéralement fondre, l'air complètement béat devant lui, encore plus quand ce dernier était sincère et accompagné d'un compliment. coco, elle commence à bien le connaître son alban. alors oui il peut faire sa mauvaise tête, coco arrive toujours à lui tirer au moins un sourire, même si ce soir, l'alcool y est pour grand chose. coupable d'une petite pichenette sur le front de coco, alban semble amusé, coco, elle aux anges. non, t'as pas tourné la page banane. non, c'est clair qu'elle n'avait absolument pas tournée la page, aujourd'hui encore moins, elle l'aime beaucoup trop son alban et ça malgré le fait qu'il ne soit plus si libre que ça.. mais coco, elle est rassurée, rassurée de voir que malgré tout, elle restait quand même assez importante à ses yeux, qu'il ne l'avait en fin de compte pas oublié. leur lien semble prendre une tournure différente ce soir, bien que l'alcool soit le responsable premier de se changement de personnalité chez alban, coco, elle en est convaincue, au fond l'alcool n'est qu'un simple prétexte, qui a juste permis à alban de se lâcher et coco elle aime le voir comme ça son alban, ça change. hum oui, j'ai peut-être pas tournée la page. coco, ça lui bourre la tête d'espoir tout ça, elle le sent plus ouvert, elle le sent se rapprocher d'elle quand il lui parle, elle sent aussi ce regard presque gêné quand il pose ses yeux sur ses lèvres, coco elle l'attend, elle le sent venir, embrasse-moi, depuis le temps qu'elle patiente pour ce moment coco, mais alban semble à nouveau se reprendre, coco elle perd pas espoir, la soirée n'est pas fini, pas encore. non t'as raison. j'préférais tu restes avec moi toute la soirée. coco, elle a ce regard conquis et charmée, il savait comment lui parler ce soir, ça change. ou peut-être pas. t'façon j'suis fiancée. puis finalement non, comme un idiot, il se braque à nouveau, mais cette fois coco, joueuse, ne semble pas décidé à lui faire de cadeau. et moi libre. coco, elle lui tourne le dos, elle prend le premier venu, puis elle se colle à lui pour danser, gardant un regard sur alban, non loin.

bring on the night — il avait tout gâché. coco était à ses pieds. prête à craquer. elle n'attendait que lui. mais alban il a tout foutu en l'air. et ça l'agaçait. mais il était comme ça, alban. un gamin lunatique incompréhensible. et coco une princesse. avec son caractère. mais des deux alban semblait être le plus absurde des deux. et il avait mal agît. propos mauvais. des mots blessants. elle aussi elle s'était braquée. elle était partie. le laissant au milieu d'une foule en délire. le regard étourdi devant la réaction précipitée de la jeune femme. plus rapide que lui. il était pas habitué. il n'aimait pas ça. que ce soit si simple. qu'elle l'abandonne si facilement. il n'aimait pas ça que coco l'ignore. à croire qu'il aime lorsqu'elle lui court après. lorsqu'elle lui avoue qu'il lui manque. lorsqu'elle lui dit qu'elle pense à lui. alban c'est un paradoxe incertain. mais là, il bouillonne. les jointures de ses mains deviennent blanches. il la regarde, la fixe, l'analyse. elle se déhanche contre un mec. un mec répugnant en plus. ça l'énerve. mais il veut pas craquer au risque qu'il comprenne qu'il est attaché à elle. plus qu'il ne le faudrait. alors il résiste. il tente de détourner le regard. mais c'est plus fort, ses yeux reviennent toujours vers elle. et quand il voit l'homme glisser sa main jusqu'à son fessier. c'était la goutte de trop. il explose. il s'rend pas compte de ce qu'il se passe. il finit son verre d'une traite. il le lâche et avance déterminé jusqu'au mec. alban, il le sait, il est complètement jaloux. la mâchoire contracté, les prunelles assombris. il fonce. il attrape l'homme et le projette loin de coco. mais ça lui a pas plu. il revient. l'air énervé. le poing arrive, trop vite pour pouvoir l'éviter. c'était inattendu. alban il grimace. c'était pas prévu dans ses calculs. son arcade en a pris un coup. tu t'es pris pour qui ? alban il sourit. alban il frappe, contre la mâchoire. lui non plus s'y attendait pas. pour son copain. ouste. pas le temps de répondre des vigiles arrivent. alban il se retourne, sans un regard pour coco, il l'attrape par le bras et traverse la foule jusqu'à se retrouver dans un coin plus tranquille. t'es vraiment une garce. au final c'est lui qui l'avait provoqué. c'est à cause de lui qu'elle s'est échappé de lui. cette fois-ci alban il ne la laisserait pas partir. quitte à s'faire tous les mecs. ils ne restèrent pas là. parce qu'alban avait mal, il amena coco jusqu'à une salle de bain. c'était certain il ne la lâcherait plus. alors qu'il cherche une pharmacie, il jette quelques regards à la jeune femme. par moment je te déteste. oui alban, il déteste perdre le contrôle. et avec cette femme ça lui arrivait trop souvent. puis finalement, il se pose, alban, la tête entre les jambes, attendant que la douleur passe. parce que mine de rien il avait pris un sacré coup.

bring on the night— coco, elle ne voulait plus perdre son temps avec alban, alors elle préfère l'ignorer, lui montrer qu'elle ne resterait pas éternellement accroché derrière lui. elle ne voulait pas en souffrir et puis coco c'était coco, elle déstestait attendre, encore plus quand il s'agissait d'un homme, coco d'habitude elle n'a aucun mal, les hommes viennent à elle, coco se laisse seulement séduire, mais alban, lui c'était différent, il avait tout pour être son homme parfait, excepté son caractère changeant.. mais elle ne voulait pas pour autant capituler, pas maintenant. alors sa seule idée à coco, c'était de le tester, voir si il résisterait de la voir danser avec un autre, voir s'il se montrerait jaloux, ou bien même s'il aurait une réaction. alors coco, elle n'hésite pas à se frotter contre un autre, cet homme, il joue le jeu, peut-être un peu trop, en même temps quel homme pourrait lui résister sérieusement, coco, elle fait tourner les têtes et elle le sait, elle fait tourner toutes les têtes, sauf une, celui qu'elle souhaite possède plus que tout, alban. quand elle se frotte à cet autre homme, elle n'a d'yeux que pour son alban, elle le fixe, elle joue avec lui, elle le rend fou et ça coco, elle le sentait, alban il perdait patience, dans son coin seul, il avait beau essayé par son attitude de montrer que tout ça ne l'atteignait pas, ses yeux, eux ne trompent pas. coco ce qu'elle pouvait aimer le fait d'inverser les rôles comme ça, alban le regard sombre et jaloux, elle profitant du spectacle.. et dire qu'il n'aurait pas eu à supporter tout ça, si seulement il avait été un peu moins sur la défensive, coco elle était tout à lui. puis là, comme inespéré, alban il finit par craquer, il s'approche et fini par m'écarter de l'autre homme, mais loin d'avoir apprécié ce geste l'homme revient le poing visant l'arcade d'alban, coco, elle ne s'y attendait pas, elle essaye d'aller aux nouvelles d'alban, qui toujours plus énervé ne lui adresse pas un regard. pour son copain, ouste. bien, cette situation ne devrait pas la mettre en joie, au contraire, mais elle ne peut s'empêcher de sourire, enfin oui, enfin une réaction d'alban. Après ça, alban, lui renchérit avec une autre droite, heureusement la sécurité arrive, alban il me prend par le bras et m’amène dans un endroit moins bruyant. t'es vraiment une garce. pourtant, ce n'est pas coco qui l'a remballer, mais c'est vrai, c'était une belle garce. et toi un grand jaloux. elle lève les yeux aux ciels. alban, il ne la lâche plus, coco, elle ne veut pas le lâcher non plus, alors ils avancent à deux, ils entrent dans une salle de bain. par moment je te déteste. coco, elle l'avait énervé. c'est réciproque mon chat... coco, elle cherche à son tour une boîte à pharmacie, c'est la première à mettre la main dessus. assis-toi et laisse-moi faire, après tout t'es mon 'copain' coco elle insiste sur le copain, elle n'avait pas oublié ses mots, non non, il n'allait pas s'en sortir comme ça.

bring on the night — une grimace sur le visage. l'arcade rougit par quelques gouttes de sang. alban il avait voulu jouer au fort. mais c'était pas son élément. il préférait les paroles à la violence. ça faisait plus mal. mais il n'avait pas eu le temps. c'était urgent. et l'alcool ne l'avait pas aidé à réfléchir aux conséquences. alors il avait cogné en retour. parce que ça l'avait agacé. mais au final, ça n'avait pas enlevé sa douleur. celle au front. et celle plus bas. de savoir qu'il avait réussi à poser ses mains sur les fesses de coco. pourtant alban il n'était pas crédule. alban il savait que l'inconnu n'avait pas été le seul à avoir cette chance. coco c'était une allumeuse. et coco elle avait allumé alban. un vrai feu de détresse, alban il s'était fait piégé. comme un con. mais il se sentait bien avec elle. elle lui balance qu'il est jaloux. c'était vrai. il ne s'en cachait pas. avoue ça t'plaît. parce qu'après tout, il la connaissait un minimum coco. il sourit alban. trop de fois en peu de temps. décidément, il risquait d'avoir mal aux joues. mais alban il aime bien se sentir comme ça. ne pas se poser de questions. ne pas calculer. perdre le contrôle. enfin seulement quand elle était là. alban il lève les yeux à l'entente du surnom. il n'avait pas l'air d'un félin. mais plutôt d'un garçon blasé. et désespéré par cette fille. mais aussi vulnérable, comme si elle le maîtrisait. comme s'il était sous le charme. conquis. abandonnant les efforts pour retrouver la trousse à pharmacie, il laisse coco faire. parce qu'elle est meilleure chercheuse, c'est évident. alors alban il suit ses ordres. il s'assoit. sans se plaindre, parce qu'alban il a envie qu'elle s'occupe de lui. il veut sentir ses doigts sur sa peau. son regard sur lui. ses lèvres près de lui. alors il se laisse faire. comme un gamin. et lorsqu'il sent ses doigts frais touché sa peau, il frissonne. il grimace aussi. ça pique. mais il a l'impression de brûler sur place. parce qu'il devient fou. elle le rend fou. il a envie de l'avoir plus près encore. qu'elle le touche encore et encore. alban il a parfois l'impression d'être dingue. là maintenant il sent ses pensées se perdre dans des contrées trop sensuelles pour se permettre d'y voir claire. et elles sont là. ses lèvres. roses et douces. pourtant il n'a jamais eu la chance d'y goûter. mais il le sait. il sait quelles sensations elles lui procureront. parce qu'il a imaginé ce moment trop de fois. alban il est à deux doigts de craquer. alors que coco elle est concentré à le réparer. alban il sent son palpitant s'accélérer. il aime cette nouvelle adrénaline. cette excitation inédite. il veut la ressentir davantage. alors il s'approche. ses mains s'installes sur les hanches de la jeune femme. il la rapproche. cinq centimètres pour sentir son parfum. pour voir plus près ces lèvres. quatre centimètres. un appel au désir. au plaisir charnel. alors il craque. trois centimètres tant pis pour cette arcade. alban il avait meilleur occupation. ses prunelles à alban elles se perdent dans les abysses de celle de coco. deux centimètres. il tient plus. un centimètre. plus aucune distance. il goutte. enfin. il dépose ses lèvres contre les siennes. mais trop vite il se perd dans ce plaisir. sa main droit remonte jusqu'au visage de coco. pour la rapprocher encore. les doigts s'entremêlant dans sa chevelure, le baiser devient effréné. et les sensations se multiplient. elles fulminent. explosion de saveur. il a craqué alban. et ça l'effraie. parce qu'il y a trop de choses à côté, trop agréables pour être simplement une question de libido.

bring on the night — coco elle avait chaud, extrêmement chaud, non de part la chaleur de la pièce, mais bien de cette proximité entre elle et lui. coco, sent que la chaleur lui empourpre les joues, alors elle baisse la tête, comme si de cette manière, alban n'allait pas le remarquer. coco, de sa blessure, elle s'en voulait un peu, c'était quand même un peu par sa faute si alban, c'était prit une droite, c'est vrai qu'elle ne le pensait comme ça, hum sauvage, un côté de sa personnalité qu'elle n'avait pas l'habitude de voir, sûrement l'alcool lui montant à la tête, mais ce qu'il pouvait être attirant dans ses états, c'est vrai, coco elle ne s'en remettait pas, elle le trouvait terriblement sexy, terriblement plus attirant qu'en temps normal, coco elle était ivre d'amour, ivre d'alban. de là, elle sort la trousse à pharmacie, laissant alban s'asseoir sous ses ordres, pas un bruit, il semble être résigné à vouloir aller contre son gré, coco, ça lui fait plaisir, que pour une fois, il se laisse faire, sans grogner. elle prend un coton imbibé d'alcool, avec sa main droite elle prend appui sur le front d'alban, elle sent ce frisson, ses mains à coco était froide, mais ça ne semble pas être la raison première. elle prévient alban du risque de picotement, coco commence ensuite à nettoyer sa plaie. il ne t'a pas loupé, mon pauvre. alban, il souffre en silence, ça pique, mais c'était nécessaire, elle y va en douceur, elle veut bien faire. puis il y a ses deux mains qui se pose sur ses hanches, coco est surprise, alban et elle n'avait jamais été aussi proche qu'à cet instant, coco elle se laisse amener tranquillement à lui, coco elle en laisse tomber son coton, elle plonge son regard dans le sien, la cubaine sent alors cette alchimie, une première pour elle, elle ne s'était jamais senti aussi proche d'un homme qu'alban, elle en était dingue, et cette alchimie c'étaient eux, alban et coco. son regard, il dévie sur ses lèvres, cette envie irrésistible d'y goûter, elle en rêve de ses lèvres et ça depuis bien trop longtemps, de plus en plus proche, coco elle est comme paralysée, elle qui en rêvait tant, elle restait timide, coco elle ne comprenait pas, elle voulait s'y jeter, comme craintif devant un alban plus entreprenant, ... leurs lèvres se touchent. plus aucune timidité, encore mieux qu'elle ne l'aurait pensée, coco elle laisse ses mains glisser jusqu'à l'arrière de sa nuque, intense et ardent, coco elle était comme légère d'un baiser à la fois doux puis fougueux, alban, il embrasse divinement.

bring on the night — coco c'était cette fille qui plaisait à alban. mais alban ce n'était pas un garçon idéal. coco comme un fruit défendu. surtout qu'alban traînait avec son frère atom. alors il n'avait pu imaginé que coco puisse lui renverser la tête. qu'elle parvienne à le faire craquer. qu'elle parvienne à le faire succomber. parce que coco elle était belle. trop. c'était cette fille qui faisait tourner la tête de tous les garçons. alban il aimait être celui qui résistait. il aimait lui faire croire à coco, qu'elle ne l'aurait pas. mais il avait craqué. parce que mine de rien la tentation était intense. alban il restait un homme. un humain. et ce n'est pas faute de l'avoir tenu à distance. ce n'est pas faute de l'avoir repoussé. finalement ces efforts avaient été vains. comme s'ils n'avaient servis qu'à les rapprocher. alban il s'était pris au piège. alors qu'il avait installé les règles du jeu. ça ne lui était jamais arrivé. alors alban il ne comprenait pas. pourtant alban il l'avait embrassé. il n'avait pas chipoté cette fois parce qu'il perdait le contrôle. non alban il avait foncé. comme lui conseiller son pote kaylan. et finalement il ne regrettait pas alban. coco elle avait les lèvres douces. avec un goût sucré. délicieux. alban ça ne le dérangeait pas de ne plus respirer tant il appréciait l'instant. mais alban il était humain. alors alban il mit fin à ce baiser. le regard perdue dans les prunelles obscurs de coco. et alban il rougissait. car alban il avait aimé et il voulait recommencer. mais il n'en fit rien. je suis désolé. qu'il balance. et pourtant il était heureux alban. mais il voulait pas lui dire. lui avouait. coco qu'est-ce que tu m'fais... rejetant la faute sur coco. l'air désespéré. parce qu'alban il n'y comprenait rien. d'habitude c'était facile. moins prise de tête. et surtout moins explosif. il avait ressenti trop de choses, absente les autres fois. et ça le faisait flipper. alors il préférait croire que c'était de la faute de coco. en soit c'était pas totalement faux.

bring on the night — coco, elle y prenait goût à ses lèvres, puis comme toutes les princesses embrassant pour la première fois un prince, coco, elle voulait que cette instant dure toujours. avant alban, coco, elle n'avait jamais ressenti une telle passion, elle ne voulait plus le lâcher, il était à elle un point, peu importe qu'il n'était à présent plus un homme libre à cause de ses histoires de fiançailles, puis coco elle en était persuadée, ses parents ne pouvait que l'apprécié elle et son empire familiale, aussi impressionnant voir plus qu'une famille calabrese, leurs fiançailles, coco elle en était sûr, ne serait plus qu'un lointain souvenir, le jour où elle débarquera devant eux, les parents McCallum. alban, c'est l'histoire de plusieurs années à lui courir derrière qui se concrétise, coco elle n'y croyait plus, elle était prête à tourner la page et ça encore ce matin. alors agripper à ses lèvres elle déguste, elle savoure, elle se lâche comme jamais elle ne s'était lâcher avec un autre homme, parce qu'alban il lui en avait fait baver, alors ce baiser pour coco, c'était comme une récompense, sa coupe pour avoir été aussi patiente avec lui. puis finalement, leur baiser se termine, coco se détache difficilement de ses lèvres, elle était prête à un second tour, mais alban, il lui met un stop. coco elle ne comprend plus rien, elle ne le comprend pas, alban, c'est un mec con, coco, elle était là à en redemander et lui préfère une nouvelle fois se braquer et ça pour le grand étonnement de coco. pour coco, alban l'avait ressenti aussi ce truc, elle en était persuadée, alors pourquoi encore se mettre des barrières, pourquoi ? je suis désolé. coco, elle est perdue, ils étaient heureux, mais il trouvait toujours ce moyen pour tout foutre en l'air, pour être con, ça oui il était fort son alban. désolé de quoi, alban ? cette fois-ci, c'est coco qui perdait patience, lunatique et con.. alban c'était ça. puis de là, alban d'un air désespéré, il lui remet la faute dessus, coco, ça a le don de l'agacer, alors elle s'éloigne de lui. ce que je te fais ? j'te rends heureux, imbécile. coco, elle croise les bras en dessous de la poitrine, puis elle le fixe, encore et toujours. j'te rends heureux, alors pourquoi... m'faire souffrir, hein ? t'sais pas à quel point j'déteste quand tu te braques, tu m'rends chèvre, sérieux. alban, il nous la rendait folle, coco.

bring on the night — ah coco. coco et alban. alban et coco. alban il n'avait jamais espéré l'embrasser auparavant. et maintenant qu'il l'avait fait. alors la réalité lui tombée dessus. comme une vérité qui s'écrase devant ses yeux. alban il s'était accroché à ce petit bout de femme. alban il s'était imaginé à de nombreuses reprises avec elle. proche. si proche qu'une intimité se formait autour d'eux. mais alban il avait toujours accusé coco de l'ensorceler. le jeune homme n'avait jamais pensé une seule seconde qu'il s'agissait bel et bien de ses pensées. et voilà maintenant qu'il avait réalisé un de ces fantasmes les plus fous. il avait réussi à atteindre cette calice. et maintenant qu'il avait compris à quel point il avait envie d'elle. à quel point il la voulait pour lui tout seul. alban il semblait effrayé. parce qu'il y avait ces fiançailles. parce qu'il y avait tellement de chose. il aurait trop peur de lui faire du mal. trop peur de l'aimer. ouais c'était ça son problème à alban. il était pétrifié à l'idée qu'il puisse aimer et être aimer en retour. une vraie minette. mais alban il avait déjà trop donné dans ces choses là. coco elle le rendait fou, c'est pour ça qu'il pensait que c'était de sa faute. parce qu'il ne savait plus comment agir. alban cet homme rigide. froid et antipathique. il se retrouvait fondu face à la jeune femme. c'était de sa faute s'il perdait pied. et elle avait raison coco, elle le rendait heureuse. comme elle pouvait l'agacer. elle était facteur de son humeur. mais alban il détestait qu'on lui balance la vérité en pleine figure. c'était lui montrer à quel point il était vulnérable. sauf qu'il ne pouvait pas la laisser filer coco. pas ce soir. ni tous les autres soirs. t'as raison coco. il soupire. il déteste ça, alban, capituler.t'as raison j'ai besoin de toi. mais j'ai peur de ne jamais réussir à te lâcher. il attend. tu me rends fou coco. tu me rends fou de toi. et c'était tout nouveau pour lui. il pose sa main sur sa joue. le temps de quelques instants. de la regarder, de l'admirer. ses traits étaient dessinés merveilleusement bien. quelques caresses sur sa joue du bout des doigts. si seulement elle pouvait imaginer une seule seconde ce qu'il se passait dans son corps. dans sa tête. et son coeur. et tout ça parce qu'elle le fixait de ses yeux.

bring on the night — alban, il est rempli de complexe, un peu trop et coco parfois elle est perdue, alban c'est un mystère, pas facile pour coco, qui elle veut savoir ce qu'il y a au fond de lui, ce qu'il lui cache, mission impossible.. pourquoi avoir peur de lui avouer ce qu'il ressent, coco elle en est triste, parce qu'elle ne sait plus vraiment sur quel pied danser avec lui, parce qu'elle a peur de souffrir en lui offrant son cœur et qu'en retour, il ne le lui brise, coco elle doute, mais elle veut y croire, parce que y'a pas de doute, alban malgré ce qu'il peut lui dire, il tient à elle, sinon pourquoi cette jalousie mal placée, pourquoi ses sourires et surtout pourquoi ce baiser échangé. il ne pouvait pas lui sortir un simple pardon... et surtout pas l'accabler parce qu'alban il a peur d'éprouver quelque chose de nouveau pour elle, parce qu'il n'est pas habituer à s'accrocher.. coco le fixe, encore et toujours, elle veut le percer à jour, lui forcer à lui dire ce qu'il veut vraiment et non c'que son cerveau lui guide de faire. t'as raison coco. coco, elle hausse un sourcil, comme surprise, elle est attentive, elle l'écoute. t'as raison, j'ai besoin de toi. mais j'ai peur de ne jamais réussir à te lâcher. comme attiré par ses paroles coco, elle se rapproche de lui, comme s'il avait enfin réussi à lui ouvrir son cœur, coco elle l'écoute, elle n'ose pas le couper, elle ne le veut pas, coco pour une fois elle veut fermer sa gueule et le laisser parler, parce qu'elle est consciente qu'il fait un énorme pas, alors elle vient s'asseoir sur ses cuisses, elle le fixe, elle l'écoute. tu me rends fou coco. tu me rends fou de toi. coco, elle sourit, car elle attendait ce moment depuis longtemps, coco. mais j'veux pas que tu me lâches.. j'veux t'avoir pour moi, alban. coco, elle frémit aux contact de sa main sur sa joue.. elle ne sait jamais senti aussi bien dans les bras d'un homme que ceux d'alban. tant mieux, parce que tu m'rends folle, aussi. dans son élan, coco, elle lui dépose un petit baiser sur les lèvres, puis elle lève son regard vers lui, comme heureuse.